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						Afrique Occidentale 
						 :    Poezie 2009-09-16 (7673  afişări) 
						  
										
						
						Algérie – Biskra 
						 :    Poezie 2009-09-17 (7272  afişări) 
						  
										
						
						British India 
						 :    Poezie 2009-09-16 (7020  afişări) 
						  
										
						
						Côte d’Azur – Nice 
						 :    Poezie 2009-09-17 (7334  afişări) 
						  
										
						
						Égypte — Port-Saïd — En Rade 
						 :    Poezie 2009-09-17 (6729  afişări) 
						  
										
						
						Homewards 
						 :    Poezie 2009-09-16 (6921  afişări) 
						  
										
						
						Japon – Nagasaki 
						 :    Poezie 2009-09-17 (7722  afişări) 
						  
										
						
						Outwards 
						 :    Poezie 2009-09-16 (8146  afişări) 
						  
										
						
						Possession Française 
						 :    Poezie 2009-09-16 (6579  afişări) 
						  
										
						
						République Argentine – La Plata 
						 :    Poezie 2009-09-17 (6764  afişări) 
						  
				  
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				Biografie Levet, Henry Jean-Marie 
					 
				
		Henry Jean-Marie Étienne Levet, né à Montbrison (Loire) le 13 janvier 1874 et mort à Menton (Alpes-Maritimes) le 15 décembre 1906, est un poète français. 
C'était un diplomate, ayant choisi cette carrière par goût du voyage. Elle le conduisit en Inde, au Viêt Nam (chargé de mission par le Ministre de l’Instruction publique, en 1898), aux Philippines (secrétaire-archiviste, à Manille, en 1902), puis en Argentine (chargé de la Chancellerie de Las Palmas). Il mourut de phtisie à l'âge de 32 ans. 
Levet a laissé une œuvre brève et comme composée par distraction.  
Le meilleur de son œuvre consiste en 10 poèmes, "Cartes postales", parues en revue en 1902 et rééditées après la mort de l'auteur par Valery Larbaud, sur qui elles eurent une grande influence, ainsi que sur d’autres poètes du voyage. 
Il y a dans les poèmes de ce dandy, jouant à l’esthète britannique alors qu’il exerçait de très officielles fonctions dans la diplomatie française, une telle désinvolture alliée à une grâce si insolente qu’ils semblent capables de rythmer tous les vague-à-l’âme et de rire des plus sombres désespoirs. 
 
					 
				 
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