agonia romana v3 |
Agonia - Ateliere Artistice | Reguli | Mission | Contact | Înscrie-te | ||||
Articol Comunităţi Concurs Eseu Multimedia Personale Poezie Presa Proză Citate Scenariu Special Tehnica Literara | ||||||
|
||||||
agonia Texte Recomandate
■ LaraicaElbaSavașiDrina
Romanian Spell-Checker Contact |
- - -
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2008-09-20
| [Acest text ar trebui citit în francais] Motto: Je joue encore avec la bille et le sablier, dans ce Tymp-ci chez toi pousse la pyramide. Un chien aboie pour que tu le caresses. Il regarde dans tes yeux jusqu'au fond de la pensée. Juste un signe, et le rideau tomba. Dès maintenaaaant j'aaaavais l'impreeeeessiiiion que le moooonde s'est raaaaamaaassé sous le cieeeel pour bâtiiiiir au lointaiiiiiiin un temple de mystèèèèère. Une goutte de pluie a pris avec elle l'équilibre rond et elle s'est mise à faire des culbutes et l'a rouléééé… jusqu'au moment où… Ponna court à la fenêtre par laquelle, le matin vient d'entrer. Après, un silence pesant. De quelque part, de loin, de temps en temps, les vagues de la mer. Outre elles, un code non écrit avec la trotteuse et l'aiguille perdues… sur une longue allée, les acacias et les marronniers tiennent le décor de ce monde par siècles, en larges cercles d'âges laissés comme signes d'été et de vie sur lesquels le nœud du temps passe de nouveau en encore?! Tu courrais d'un trait sur une plage, dans un labyrinthe muré, avec trois jumeaux qui se promenaient comme un rêve dans l'Infini. Tu tombes sur une falaise née d'une pierre et des coquillages et d'une vague marine. Tout est un roc et toute une eau de source parmi les sources… Tu prends un nœud bleu de la pensée éparpillée avec le poisson sous la pluie, silencieux et éreinté. L'histoire s'est transformée en chant avec les notes d'une falaise… la Stradela, l'aboiement… tu étais déjà plus intelligent d'une nuit. Le cercle du serpent qui avale sa queue tient dans sa petite couronne la pyramide avec le labyrinthe divisé en moitiés inégales. Nous nous promenons déjà au ralenti et nous jouons aux échecs, en lui riant au nez… il ne nous mène plus en laisse avec ses farces… au hasard, nous lui avons tendu un dernier piège… et comme ça, j'ouvre le sentier qui descend de nouveau vers la mer. Les silences perlés des coquillages-spirales m'amassaient dans le monde où encore et à nouveau refaisaient leur valeur de doubles indices en ligne sans limites avec une partie où tu tords un fil. C'est elle la raison, la vierge à la licorne Un cavalier dans l'escalier lui apporte la portée............. ....................... ...................................... (À mon jumeau, Nicolae, de très loin, pour les cantiques de Noël de l'enfance et pour toutes les volées qu'il a eues à cause de moi. La première photographie est remaniée par Daniela Iacoblev Barãu.) ........... d'après "Serpii si piramida" (Jumatati inegale), de Ioan Mircea Popovici ............ Montréal, le 19 septembre 2008
|
||||||||
Casa Literaturii, poeziei şi culturii. Scrie şi savurează articole, eseuri, proză, poezie clasică şi concursuri. | |||||||||
Reproducerea oricăror materiale din site fără permisiunea noastră este strict interzisă.
Copyright 1999-2003. Agonia.Net
E-mail | Politică de publicare şi confidenţialitate